Cachées sous une forêt qui a repris ses droits sur ce vaste terrain, plusieurs centaines de voitures s’enfoncent autant dans l’oubli que dans la terre. La rouille y règne en reine (à répéter à voix haute avec des biscuits soda dans la bouche)....
En 1937, nous sommes en plein âge d’or du cinéma et en ces terres gaspésiennes, le curé de ce petit village côtier rêve à un moyen de financer l’église moderne à laquelle il rêve. Convainquant les paroissiens de fournir le bois et le temps pour construire un petit théâtre de 250 places, ce dernier ouvrira ses portes en 1938. On dénichera en Nouvelle-Écosse des sièges en fer forgé pour meubler la salle.
De construction sobre rappelant la structure des hangars de la région, l’intérieur est d’inspiration art déco. Rénovée au cours des années 1950, la salle est alors abondamment utilisée pour le cinéma, les fêtes irlandaises, des rassemblements politiques ainsi que pour du théâtre local.
Néanmoins, comme tant d’autres salles à travers le monde, son déclin s’amorcera avec l’arrivée de la télévision. L’exode rural et le vieillissement de la population viendront à bout de la salle qui n’est plus utilisée aujourd’hui que pour de très rares occasions. Malgré tout, un bénévole voué à sa sauvegarde réussit à maintenir le site en vie malgré le désintérêt de la communauté.
Cachées sous une forêt qui a repris ses droits sur ce vaste terrain, plusieurs centaines de voitures s’enfoncent autant dans l’oubli que dans la terre. La rouille y règne en reine (à répéter à voix haute avec des biscuits soda dans la bouche)....
Comme toutes les belles histoires, celle des d'Alcantara commence par «il était une fois»... Un aristocrate belge d'origine espagnole, le comte Carlos d'Alcantara, est éperdument amoureux d'une jolie ballerine française. Ses...
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