Nous sommes en septembre 1937 dans le petit village de Belchite situé à environ 50 kilomètres de Saragosse. La guerre civile espagnole sévit depuis déjà un an et des milliers d’Espagnols sont morts. D’ici la fin du conflit en avril 1939, ils...
C’est à la vitesse grand V que le vieux couvent des Sœurs de la Rédemption subit les foudres des vandales en manque de sensations fortes.
Classé bâtiment patrimonial, la communauté religieuse l’a déserté au milieu des années 1990 pour une retraite dans un lieu un peu plus petit. Resté inoccupé pendant quelques années, le bâtiment a été vendu en 2015 à un homme d’affaires de la région avec en tête un projet de centre de services funéraires pour ce lieu vieux d’une centaine d’années.
Pour le moment, le projet est demeuré dans les cartons et après plus d’un an et demi, rien n’a été fait. Si le propriétaire a déjà indiqué que seule la coquille l’intéressait, il n’en reste pas moins que l’intérieur est en piteux état. Vandalisé et tagué, le site a connu également son lot d’inondations et d’infiltration de toute sorte.
Le sous-sol est couvert de plusieurs centimètres d’eau à certains endroits et les carreaux des fenêtres ont été cassés à plusieurs endroits, laissant la moisissure et les champignons envahir ses murs.
Alors que la ville s’impatiente de plus en plus face à ce laxisme, le propriétaire continuer à crier sur tous les toits que son projet de services funéraires doit bientôt voir le jour, le temps de finaliser les derniers détails.
Entre-temps, l’eau continue de monter au sous-sol…
Nous sommes en septembre 1937 dans le petit village de Belchite situé à environ 50 kilomètres de Saragosse. La guerre civile espagnole sévit depuis déjà un an et des milliers d’Espagnols sont morts. D’ici la fin du conflit en avril 1939, ils...
Bon, je l’avoue d’entrée, ce titre est sensationniste. L’histoire de ce lieu se raconte en deux temps, ce qui explique le raccourci pour en arriver à ce titre.
Vie et mort de la Congrégation en trois uppercutsFondé à la fin des années...
Il faut remonter à 2014 pour trouver les traces de la dernière cérémonie religieuse dans cette église. Depuis, pratiquement rien n’a bougé entre ses murs. Malgré un entretien minimal, les toiles d’araignées ont commencé à apparaître ici et là...
Fermée depuis 2015, cette église de Montréal a bien triste mine. Principalement son presbytère en fait. Les marches extérieures sont pourries, la cuisine semble avoir terriblement souffert d’un bris de tuyauterie et ses boîtes dans l’entrée...