De l'extérieur, rien ne laisse croire que l'usine est abandonnée. Aucune fenêtre n'est condamnée et il n'y a aucune pancarte "à vendre". Même la structure de l'édifice est encore en très bon état. Moi-même, lorsqu'on m'en a parlé pour la première...
Construite dans les années 1930, la tour d'aiguillage Wellington a cessé ses activités en 2000. Malgré les années qui ont passées et les graffiteurs qui sont venu s'y exprimer, la structure de la vieille tour est encore bien droite. Lorsqu'elle était en fonction, c'est de là qu'était géré les allées et venues des bateaux sur la canal Lachine afin de les coordonner avec les passages des trains sur le pont tournant situé à côté de l'édifice.
Bien qu'on ait évoqué un projet de revitalisation de la tour afin de la convertir en halte cycliste, force est d'admettre que rien n'a été fait depuis l'annonce du projet en 2008.
Pourtant, un an plus tôt, on évoquait déjà une mise en valeur de la tour Wellington à l'occasion de la réouverture du canal Lachine. On parlait même d'un centre d'interprétation ayant pour sujet le passé industriel du secteur. Hélas, le projet est mort dans l'oeuf.
En fait, la seule activité digne de mention à son sujet a été la cessation de ses équipements, dont une immense console, au musée ferroviaire de Saint-Constant, Exporail. Cette dernière est maintenant exposé au deuxième étage de la station Hays sur le site d'Exporail.
Aujourd'hui, les accès sont barricadés, mais lors de notre passage, la porte était grande ouverte. Côté équipement, il ne reste pratiquement rien, que quelques fils ici et là. Sinon, les murs sont recouverts de graffitis, les tuiles du plafond ont commencés à tomber et l'eau a commencé à s'infiltrer un peu partout.
De l'extérieur, rien ne laisse croire que l'usine est abandonnée. Aucune fenêtre n'est condamnée et il n'y a aucune pancarte "à vendre". Même la structure de l'édifice est encore en très bon état. Moi-même, lorsqu'on m'en a parlé pour la première...
C’est l’histoire classique d’une usine où son propriétaire a délocalisé sa production vers de lointaines contrées. Une longue histoire liée à une ville qui a grandi autour des centaines d’emplois que cet employeur procurait à ses citoyens. Et ce...
Issu d’une famille juive qui cultivait le tabac en Bessarabie, une région à cheval entre la Roumanie et la Moldavie, le propre nom de famille de la riche famille Bronfman semblait prémonitoire et lié à leur avenir. En effet, en yiddish, Bronfman...
Les urbexeurs ont le préjugé facile. Généralement, en regardant un bâtiment de l’extérieur, ils s’y arrêteront quelques instants, le regarderont et décideront s’ils passent leur chemin ou non. Les plus fanatiques iront explorer tout ce qu’ils...